Il était déjà admis que l’activité physique augmentait la sensibilité à l’insuline et avait donc un effet protecteur sur l’apparition de diabète de type 2. Ainsi l’absorption de glucose par les muscles augmente de 30 à 40% pendant les 48 à 72h selon l’intensité et la durée de l’effort.
Une étude exploratoire a permis de mettre en lumière un nouveau lien : le nombre de copies d’ADN mitochondrial est corrélé positivement avec la pratique d’activités physiques et sportives des sujets.
Les auteurs proposent donc que le meilleur statut insulinique (et une meilleure capacité aérobie) et l’effet protecteur contre le diabète de type 2 puissent venir de ce nombre plus élevé de copies d’ADN mitochondrial.
Source : Société Française de Nutrition