Cette année, j’ai pu participé au groupe de travail pour la mise à jour du référentiel Activité Physique et Cancer de l’AFSOS.
Vous pourrez trouver la Fiche AFSOS ici.
Cette année, j’ai pu participé au groupe de travail pour la mise à jour du référentiel Activité Physique et Cancer de l’AFSOS.
Vous pourrez trouver la Fiche AFSOS ici.
Dans la dynamique d’amélioration des pratiques et de formation continue, j’ai validé le DU Techniques de récupération et Micro-nutrition du sportif (à l’Université de Perpignan) pour l’accompagnement nutritionnel des sportifs et le DU Posture Mouvement Santé (à l’Université de Paris-Saclay) dans le cadre des arts martiaux santé.
L’année dernière, j’ai validé une formation universitaire sur l’éthique, la déontologie et l’intégrité scientifique à la Faculté de Médecine de Marseille.
Après avoir été sollicité par des collègues pour de la supervision de pratique, j’aurai l’honneur d’inaugurer un cours sur le sujet de la déontologie et de la méthodologie scientifique dans le cadre du DU Sport et Cancer où j’interviens déjà sur le thème « Nutrition, Activité Physique et Cancer ».
Depuis mi Mars les diététiciens se voient attribuer un numéro RPPS en remplacement de leur numéro ADELI.
Mais qu’est-ce donc ? Une centralisation des professionnels de santé permettant aux patients de vérifier si le praticien a bien un diplôme lui permettant d’exercer.
Pour bien débuter 2023 et dans la continuité de mon engagement pour la lutte contre les cancers, j’ai rejoint le réseau ONCODIETS.
Mes examens sont terminés, c’est le moment de la reprise des cours de Taiji Quan style Chen à La Flèche de Bordeaux.
On continue les cours sur la pause méridienne (12h30 à 13h30) les mardi et jeudi. Vous pouvez me contacter au 06 51 78 88 45.
Mon collègue Didier proposera ses cours à La Flèche, le vendredi matin de 11h à 12h.
Lors des 12èmes Journées des Référentiels en Soins Oncologiques de Support, j’ai participé à la relecture de la fiche de référence sur la méditation dite de pleine conscience (mindfulness) en onco-hématologie.
Dans le cadre des 11èmes Journées des Référentiels en Soins Oncologiques de Support, j’ai participé à la relecture de la fiche de référence sur l’accompagnement du lymphœdème du membre supérieur dans le cas des cancers du sein.
L’étude du fonctionnement de notre cerveau permet de mieux comprendre la manière dont nous pensons et formons nos avis. D’ailleurs, le livre d’Albert Moukheiber, « Votre cerveau vous joue des tours » vous permettra d’approfondir le sujet si vous souhaitez en apprendre plus.
En résumé, notre espèce a évolué dans un environnement hostile et a du développer des capacités pour y faire face tout au long des générations. Notamment via le fonctionnement de cet organe qu’est le cerveau. Mais la masse d’information à traiter est tellement importante qu’il n’y arrive qu’au prix de raccourcis, approximations et remplissage des informations manquantes.
Autrement dit, nous avons tous tendance à nous raconter des histoires (moi compris) pour se protéger ou comprendre le monde et bien souvent les faits sont réécrits pour être à notre avantage. Prendre du recul sur ces phénomène est dur (en temps d’apprentissage et en attention pour le faire) et donc couteux en énergie.
Ces petits arrangements avec la réalité ne sont pas un problème quand ils nous permettent d’avoir le temps de digérer une situation trop dure à gérer sur l’instant ou nous rassure, mais ils deviennent problématiques lorsqu’ils commencent à faire plus de mal que de bien.
Et cette capacité à faire des liens ou combler les manques est aussi un levier qui peut nous transformer en victimes de personnes plus ou moins bien intentionnée (et qui ont généralement un intérêt, souvent financier, à nous faire croire ce qui les arrange).
J’ai pour ma part étudié la méthodologie scientifique durant mes études d’économie (DEUG, Licence, Maîtrise et DEA) avec des cours d’épistémologie et de statistiques puis d’économétrie, pour produire des études scientifiques. J’ai complété cela avec des lectures ou des cours en ligne sur les neurosciences et autres biais et bien évidemment la méthodologie.
Présenté ainsi, vous supposez que j’ai obtenu mon diplôme de DEA et vous me créditez implicitement d’un BAC+5. Hors même si j’étais 3ème de ma promo et que mes enseignants me voyaient déjà faire une thèse, j’ai eu des soucis de santé suffisamment importants et longs pour que je ne puisse pas rendre mon mémoire et n’ai donc pas validé l’année ni pu me réinscrire l’année suivante. (Mais j’ai effectivement un BAC+5 puisque j’ai d’autres diplômes dans d’autres disciplines).
Et si dans mon cas cela ne change pas grand chose, je vais rajouter 3 exemples supplémentaires pour illustrer mon propos :
Où voulais-je en venir ? Il est aisé de faire croire à quelqu’un (surtout s’il a envie d’y croire) que l’on a des qualités, un niveau d’étude ou un titre que l’on n’a pas.
Que penser de la compétence de ces gens qui ont besoin de recourir à de tels subterfuges ? Soit ils sont sincères et arrivent à se tromper eux même (Effet Dunning-Kruger, appelé aussi illusion de connaissance) parce qu’avec des études assez courtes il manque généralement beaucoup de choses pour une réelle compétence ou la capacité à travailler en équipe pluridisciplinaire, soit ils savent très bien ce qu’ils font et là on est dans la manipulation.
Il en est d’ailleurs de même avec l’amalgame entre formation et droit d’exercer. Là encore c’est notre cerveau qui rempli les trous. Beaucoup de formations ne font que survoler un sujet et ne permettent pas d’accompagner des patients ; cela nécessite donc une législation pour assurer la protection des populations. Et pour cela nous avons le Code du Sport ou le Code de la Santé Publique : ils listent les formations assurant une sécurité suffisante pour le public.
Si la formation qui est annoncée (et le titre l’accompagnant) ne fait pas partie de la liste, elle n’est pas autorisée à exercer ; quel que soit le nom, surtout s’il est ronflant.
Ne vous laissez pas manipuler.
L’université de Monash, est une université Australienne où exercent les précurseurs (et découvreur) de l’alimentation thérapeutique contrôlée en FODMAPs, acronyme regroupant les sucres fermentescibles à l’origine de douleurs et d’inconforts (ballonnements, gaz, distensions) pour les patients souffrant du syndrome du colon irritable.
Ces sucres sont à l’origine de troubles souvent attribués à tort au gluten car certains aliments contiennent les deux composants et que les première études sur le gluten n’avaient pas pris en compte ce biais de confusion. Contraignant dans sa première phase, cette alimentation particulière permet d’éviter une éviction trop importante une fois les sensibilité déterminées pour chacune des familles de FODMAPs.
J’ai donc validé leur formation, référence sur le sujet, qui nécessite de passer un examen en anglais avec note minimale de 16/20 pour l’obtenir ; ce qui me permet donc d’être listé dans leur application.