Diét et clic

Il est commun de penser que manger sainement coute cher ; et dans le même temps aller au fast food.

Dailyspark a fait une petite étude de prix pour différents achats de junk food et leur équivalent en aliments plus traditionnels.

Lorsqu’on y regarde de plus prêt, il est simple de constater que pour la même somme d’argent (voir moins) : il est possible d’avoir une plus grande quantité de nourriture saine que de junk food.

Non seulement manger mieux pour moins cher est possible, mais pour plusieurs repas.

Dans un contexte où l’industrie alimentaire nous propose des produits dont l’origine et la nature ne peuvent pas toujours être certifiées, contenant souvent trop de sucre, de gras et de sel, il est temps de revenir aux produits de base facilement identifiables.

Le cerveau comporte plusieurs zones ayant des effets différents mais interagissant entre elles. Le noyau accumbens est impliqué dans les mécanismes du plaisir. Il est situé près des centres de la faim et de la satiété. Lorsque ces derniers sont stimulés, par effet de proximité ils nous permettent de ressentir le plaisir qui fait défaut lors d’une petite déprime.
Durant une baisse de moral le cerveau nous incite à rechercher des plaisirs rapides ; la nourriture devient donc un moyen aisé de satisfaction puisque nous vivons dans des pays où l’abondance des aliments découle de la variété des produits et la facilité avec laquelle on se les procure.
Ce plaisir rapide est souvent assuré par des aliments à forte teneur en graisses (plus ou moins saturées) et sucres rapides qui ont tendance à se transformer en surpoids. Ces kilos superflus, sources supplémentaires d’une mauvaise image de soi ou de frustration, entrainant un sentiment de culpabilité et amorcent le début d’un cercle vicieux.

Il est donc important de lutter contre cet état mental en développant d’autres stratégies que le recours compulsif à la nourriture : faire du sport, se ménager des moments pour prendre soin de soi, faire des balades dans un cadre agréable, rencontrer des gens sympathiques, changer ses habitudes, etc.

Encore dernièrement j’ai entendu une dame donner comme conseil à un jeune homme en surpoids : mange des pommes quand tu as faim.

Petite idée reçue qui mérite correction : les fruits sont certes bon pour la santé (source de vitamines et minéraux, anti-oxydants, polyphénols, etc.) mais il faut que leur consommation corresponde à notre état physiologique.

En effet, le sucre contenu dans les fruits (fructose) n’est pas régulé de la même façon que le glucose. N’étant pas soumis à l’insuline, le fructose a tendance à se transformer plus facilement en graisses lorsque la consommation est trop importante.

Il est donc nécessaire pour les personnes atteintes de diabète d’avoir une consommation raisonnée de fruits (pour gérer leur glycémie) et intégrée à un repas (et éviter les prises isolées). Les personnes en surpoids doivent aussi faire attention au nombre consommé et limiter les fruits contenant beaucoup de sucre.

Cette enquête réalisée par le laboratoire Roche, sur des adultes, tous les trois ans montre une progression de l’obésité (15% de la population) mais avec une croissance plus faible que lors des précédentes études.

Plusieurs informations importantes en ressortent :

• Plus d’obésité chez les femmes (15.7%) que chez les hommes (14.3%) ;
• Les obésités extrêmes augmentent encore cet écart ;
• La plus forte progression de l’obésité est observée chez les jeunes de 18 à 24 ans ;
• Des disparités géographiques et économiques apparaissent quant à l’observation de l’obésité (qui touche proportionnellement les personnes à faible revenu).

L’obésité, responsable de maladies cardiovasculaires et diabète, ne doit pas être prise à la légère et une réduction de poids aidera à améliorer la qualité de vie.

Ces deux sujets ne semblent pas liés de prime abord, néanmoins ils le sont de manière indirecte : le corps génère des endorphines pour lutter contre la douleur de l’aiguille. Et si elles ont une action antalgique à court terme, elles sensibilisent le corps à la douleur à long terme.

Pour faire simple, si vous ne prenez pas de précautions, vous risquez de devenir plus sensible à la douleur.

Comment éviter que cela se produise ?

Ce mécanisme physiologique est due à des dérivés protéiques qui participent au fonctionnement des récepteurs de douleur. Une partie de ces éléments vient de notre alimentation. Donc, grâce à un choix d’aliments spécifiques, il est possible de diminuer leur action et de revenir à une sensation de douleur normale.

Avis aux amateurs d’encre !